19 Avril 2017 - L'Académie des Sciences, s'interroge sur la façon d'aborder la transition énergétique dans notre pays et remet en cause nombre d'idées reçues.
Lire cet édifiant rapport :
25 Mars 2017 - Manfestation Monstre à Besançon
Poussés par une idéologie sans fondement scientifique, nos politiques ont choisi de détruire nos campagnes avec des éoliennes gigantesques qui ruinent la vie des riverains sur de grandes distances. Les résultats sont sans appel avec une électricité plus chère, une électricité plus sale car elle a besoin du soutien des centrales thermiques et enfin, d'une électricité sur laquelle on ne peut pas compter puisqu'elle s'interrompt dès que le vent faiblit. En bref, l'électricité éolienne ne pourra jamais, par nature, remplacer aucune forme traditionnelle de production d'énergie.
1er Août 2016 - Eoliennes : Les allemands n'en veulent plus !
Suivez le Reportage " La Guerre des Eoliennes "
C'est le temps qu'il aura été nécessaire au maire de Tannay pour présenter aux membres du conseil municipal qui s'est tenu le 27 janvier 2015, en mairie :
- le projet éolien à l'ordre du jour, motivant enquête publique diligentée par le préfet
- procéder aux débats et aux votes.
Un projet de 21 millions d'euros !
Un exemple de démocratie participative, rondement mené !
9 Janvier 2015 - Tannay,les opposants toujours vent debout face au projet éolien
Les opposants au projet éolien du canton de Tannay, regroupés au sein de l'ADDHN, depuis mars 2010, n'ont pas baissé la garde. Alors que les dossiers de demande de zone de développement éolien (ZDE) ont été retoqués à deux reprises par la préfecture de la Nièvre, en 2010 et 2012, les membres de l'ADDHN conservent une ligne de conduite intacte sur la troisième version du parc. Explications...
Lire la suite dans le Jdc
21 Novembre 2014 - Une Réunion démocratique à Talon !
Le 21 novembre 2014, le Maire de Talon organise une réunion publique sur le sujet éolien et convoque un Conseil Municipal, les deux à 18h00.
Remarque préliminaire : il est très étonnant de voir une réunion publique et un Conseil Municipal organisés le même jour, à la même heure ???
Ces deux événements ont purement et simplement été annulés par le Maire au mépris de la Loi et du débat démocratique sans aucune raison valable. Une trentaine de personnes s'est déplacée et est restée médusée devant cette attitude. A l'ordre du jour : débat autour du projet éolien (entre autre). Le projet éolien de la Fleur du Nivernais contient-t-il des aberrations graves que veulent taire les partisans ?
Le débat démocratique n'ayant jamais eu lieu sur ce troisième projet éolien (identique aux deux précédents rejetés par les Préfets successifs), c'était l'occasion pour les pour et contre de s'exprimer... L'opacité du projet demeure.
16 Avril 2013 - La loi Brottes change la donne !
A la suite du vote par l'assemblée de la loi Brottes sur l'énergie, publiée au J.O du 16 avril, et portée par le député socialiste du même nom, les Zones de Développement Eolien et toutes les décisions prises précédemment sont nulles et non avenues.
la règle des cinq mâts, destinée à éviter le mitage et qui conditionnait la possibilité de bénéficier des tarifs d'achat du courant par EDF est aussi supprimée.
Le rappel des faits :
Les élus de la Communauté de Communes de la Fleur du Nivernais, soutenus par le promoteur Eole Res, ont projeté d'imposer aux habitants
du Canton de Tannay un parc éolien de 12 machines de 150 mètres en bout de pales, dans des bois, essentiellement communaux, qui alimentent depuis des siècles, la population en chauffage et en bois
d'œuvre.
Deux dossiers de demande de Zone de Développement Eolien (ZDE),sensiblement identiques, déposés en 2010 puis en 2012, ont été successivement refusés par les deux préfets qui se sont succédés en
raison
Nous aurions pu supposer que le dossier était clos ! Mais la loi Brottes votée au Parlement et publiée au journal officiel le 16 avril 2013, est venue modifier la donne, en allégeant considérablement les dispositifs d'implantation ! Le but de cette loi est de donner un second souffle à l'énergie éolienne, et de réduire le retard pris par la France face aux engagements pris envers les autorités européennes de produire 25000 MW d'énergie renouvelable à l'horizon 2020.
Ce que dit la loi Brottes ?
La loi Brottes, du député PS de l'Isère de même nom, concerne plus particulièrement les ZDE qui n'ont plus d'existence légale et la règle des cinq mâts.
On peut donc considérer que toutes les décisions prises précédemment à ce sujet sont nulles et non avenues ! La suppression de ces ZDE devrait renforcer la procédure de demande de permis de
construire accordée par la préfecture.
Depuis l'entrée en vigueur en 2011 de la loi Grenelle II , l'administration n'est plus tenue d'organiser d'enquête publique dans le cadre
de l'instruction du permis de construire des éoliennes ! Cette enquête a désormais lieu dans le cadre de l'instruction de l'autorisation d'exploiter (régime ICPE) L'autorisation ICPE, (Installation
Classée pour la Protection de l'Environnement) devra tenir compte des zones de territoires favorables au développement de l'énergie éolienne définie par le Schéma Régional Eolien. Or selon ce schéma
,en ce qui concerne la Nièvre, 297 des 312 communes susceptibles d'accueillir
pour partie les 600 éoliennes programmées en région Bourgogne. Seules 15 communes, seraient épargnées et le Canton de Tannay n'en fait pas partie ! Notons que la Nièvre est l'un des départements les
moins ventés de France, mais cela n'a pas entamé l'enthousiasme du Conseil Général de Bourgogne initiateur du Schéma !
la règle des cinq mâts, destinée à éviter le mitage et qui conditionnait la possibilité de bénéficier des tarifs d'achat du courant
par EDF est aussi supprimée. L'association Vent de Colère, à laquelle nous adhérons, a lancé une action judiciaire auprès de la Cour de Justice de l'Union Européenne.
L'arrêté Borloo de novembre 2008 a institué une obligation d'achat du courant éolien par EDF au prix de 82 € le mégawatt, soit à un
tarif plus de deux à trois fois supérieur au prix de revient qu'EDF obtient avec ses autres sources d'énergie.
Cette rentabilité exceptionnelle, assortie d'autres avantages fiscaux, explique les moyens considérables dont disposent les opérateurs éoliens et leur acharnement à placer des machines sur tout le
territoire français. En revanche ce sont les contribuables qui en supportent le poids, via la CSPE notamment. (voir ce que cet impôt déguisé vous coûte au verso de vos factures EDF).
Pour lutter contre cette pratique la Fédération Vent de Colère a demandé auprès de la Cour de Justice de l'Union Européenne l'annulation de l'arrêté du 17 novembre 2008, arguant que les pouvoirs
publics mettaient en place une subvention déguisée en faveur des opérateurs éoliens, subvention qui aurait dû être soumise à l'autorisation de Bruxelles.
Il faut donc nous attendre à entrer dans les mois à venir dans une procédure juridico-administrative, car les promoteurs toujours à la chasse aux subventions, ne sont pas prêts de lâcher. Les municipalités devraient être écartées du processus décisionnel et l'on peut toujours espérer que la préfecture, qui s'est à deux reprises opposée aux projets qui nous concernent ne revienne pas sur sa décision!
Affaire à suivre....
4 février 2013 - Article du Journal du Centre concernant le refus de ZDE en Tannaysie.
Une nouvelle fois, les autorités préfectorales s'opposent à l'édification d'une Zone de Développement Eolien sur le territoire de la Communauté de Communes de la Fleur du Nivernais.
Petit rappel: une première fois, en Août 2010, le Préfet Nicolas Quillet s'était opposé au principe d'une ZDE sur le territoire de la CCFN. Cette décision n'avait fait l'objet d'aucun appel auprès des instances administratives; mais cette décision, loin de rebuter le promoteur, a eu pour conséquence la présentation d'une nouvelle demande de sa part, qui s'est soldée par un nouveau refus de la part de la nouvelle préfète, Mme Michèle Kirry.
Les principaux motifs invoqués restent les mêmes:
Cette décision ne doit pas nous empêcher de rester attentifs: le promoteur peut revenir à la charge...
Rappelons simplement que:
Le feuilleton n'est donc pas terminé...
L'arrêté préfectoral du 21 Janvier 2013
L'éolien dans la tourmente: reportage en Allemagne, et contestations en France
LE MONDE
Berlin, correspondance. "Médiocre." C'est la note sans appel attribuée par les industriels allemands à la chancelière Angela Merkel pour sa gestion de la transition
énergétique, selon un sondage mené par l'Institut économique de Cologne IW, publié mi-août.
Si elle n'était pas formulée par ses amis politiques, cette ferme condamnation aurait pu coûter cher politiquement à la candidate chrétienne-démocrate. Car, avec l'accélération de la
transition énergétique, deux ans après l'annonce surprise de la sortie anticipée du nucléaire en 2011, le bilan est peu reluisant. Ni les industriels, ni les consommateurs, ni l'environnement n'en
profitent pour l'instant.
Cette transition énergétique se traduit en effet par une série d'effets pervers. Le premier est la hausse du prix de l'électricité en Allemagne. Les consommateurs et les petites et moyennes
entreprises payent pour cette énergie un des tarifs les plus élevés d'Europe. La loi sur les énergies renouvelables de 2000 a créé une spirale inflationniste sur l'électricité, au point que les
industriels s'inquiètent de la compétitivité du pays à moyen terme. Peu de politiques osent réellement porter l'estocade contre Angela Merkel sur ce dossier, tant il est complexe.
La loi sur les énergies renouvelables, adoptée en 2000, prévoit une obligation de raccordement au réseau de toutes les installations produisant de l'électricité renouvelable. Les producteurs, qu'ils
soient des entreprises ou des particuliers, bénéficient d'un prix de rachat au-dessus du prix du marché garanti sur vingt ans. Le surcoût créé par ces énergies est réparti sur l'ensemble des
consommateurs.
VICTIME DE SON SUCCÈS
En garantissant une sécurité aux producteurs, ce texte a permis une croissance exceptionnelle des énergies renouvelables en Allemagne depuis vingt ans. Elles représentent, treize ans après l'adoption
de la loi, 23 % de l'ensemble de l'électricité produite dans le pays. Mais le secteur est aujourd'hui victime de son succès.
L'explosion du photovoltaïque et de l'éolien a considérablement augmenté la facture dédiée aux énergies renouvelables. En 2013, elle s'élève à 5,27 centimes par kilowattheure, soit une surcharge pour
un foyer de trois personnes de 185 euros par an. En 2014, ce surcoût devrait monter à 250 euros, jugent les experts.
Cette cherté de l'électricité est de moins en moins comprise par le consommateur. Car, paradoxalement, il paye son courant d'autant plus cher que le prix de gros de l'électricité sur les marchés
financiers est bas. La raison tient aux tarifs garantis aux producteurs, qui alourdissent l'enveloppe du renouvelable lorsque les prix baissent. Or, en matière d'énergie renouvelable, les foyers
pauvres payent autant que les riches.
A ceci s'ajoute que l'Allemagne, pionnière dans le secteur, n'est pas plus propre pour autant. Malgré des capacités de production dans l'éolien et le photovoltaïque considérables, le pays a augmenté
en 2012 ses émissions de CO2 de 2 %. En cause : le retour du charbon, énergie peu chère mais très polluante, vers laquelle se tournent les grandes compagnies électriques du pays (RWE, E.ON,
Vattenfall, EnBW) en panne de profits.
La fermeture anticipée des réacteurs nucléaires les plus anciens en 2011 et l'explosion du courant "vert" prioritaire sur le réseau a en effet ruiné le modèle économique de ces groupes, pour qui
l'atome était très rentable.
Les effets pervers de la transition énergétique en Allemagne
3 Novembre 2012 - La Grande-Bretagne met fin à l'éolien terrestre :
Le nouveau Ministre de l'Energie britannique John Hayes vient d’annoncer l’arrêt de la construction
d’éoliennes terrestres en Grande Bretagne.
(voir l'article dans la rubrique actualités)
La Grande Bretagne met fin à l’éolien terrestre
(extraits traduits du Daily Mail du 31/10/12)
Le nouveau Ministre de l'Energie britannique John Hayes vient d’annoncer l’arrêt de la construction d’éoliennes terrestres en Grande Bretagne.
Dix ans trop tard, bon débarras des éoliennes !
L'un des plus grands délires de la période actuelle.
Le Ministre a annoncé qu'il ne serait plus construit de nouveaux projets éoliens au Royaume Uni. La signification de cette annonce choc, par le Ministre de l'Energie ne peut être plus claire : c'est le commencement de la fin de l'un des plus grands délires de l'époque actuelle.
Depuis des années, le projet de couvrir des centaines de kilomètres carrés du territoire britannique
d'éoliennes avait été l'un des piliers de la politique énergétique britannique, soutenue par les trois grands partis politiques.
En 2008, le Premier Ministre Gordon Brown avait annoncé son souhait de voir le pays dépenser 100
milliards de Livres dans les éoliennes. Le leader de l'opposition conservateur David Cameron avait alors répondu qu'il aurait du le faire depuis longtemps ! C'était alors, selon l'avis général, la
seul voie pour rejoindre l'engagement de l'Europe de produire 1/3 d'énergies renouvelables en 2020, avec des dizaines de milliers d'éoliennes. Maintenant, coup de tonnerre dans un ciel bleu, le
Ministre de l'Energie annonce un moratoire immédiat et absolu sur toute nouvelle construction d'éolienne.
Ce qui est piquant dans cette annonce, c’est que le Ministre a choisi de lâcher cette bombe quelques heures avant d'assister au Congrès de Glasgow de RenewableUK, (association de pression - lobby des
industriels de l'éolien - équivalent du SER en France). Cette association représente ceux qui ont fait d'immenses fortunes sur le dos des finances publiques avec « la plus grande poule aux œufs
d'or des temps modernes ». Enfin, Monsieur Hayes décide d'arrêter l'arnaque sur place. Il va leur donner le choc de leur vie.
La décision de Monsieur Hayes concerne dans un premier temps les éoliennes terrestres, mais il y a aussi les éoliennes maritimes pour optimiser les ressources du vent. Les conséquences d'un tel volte
face concernent non seulement Bruxelles où l'administration ne pourra être impliquée, grâce à l'argument astucieux de John Hayes qui assure qu'il n'y a plus besoin d'éoliennes pour atteindre
l'objectif des énergies renouvelables. Nulle n'appréciera davantage cette annonce que les centaines d’associations de défense qui se sont multipliées pour mener ce combat .
(Ndlr. rappelons que le promoteur retenu par la CCFN est à capitaux britanniques.)
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6 Novembre 2012 - Le leader mondial de l'éolien Vestas au bord de la faillite.
Le gouvernement danois ne semble pas vouloir sauver
l’entreprise qui licencie massivement. (Bloomberg.com news)
La presse économique annonce aujourd'hui l'effondrement prochain total, au
bord de la faillite, de l'éolien Vestas, qui pèse pour un tiers du marché éolien mondial.
Le gouvernement danois a annoncé clairement qu'il n'apportera aucune aide. Les premiers défauts de paiement sont survenus cette semaine et il y a risque de débâcle. Plusieurs constructeurs peuvent
connaitre sous peu la même situation.
L'année dernière Vestas était encore à 300 DKK. par action et en est à 30 DKK. aujourd'hui, soit 90 % de baisse en un an.
Qui va assurer le démantèlement des éoliennes Vestas que l'on importe massivement en France et qui représentent 25 à 30 % du parc français sur un total de 6000 éoliennes installées ?
Malgré 3700 licenciements (au lieu des 1600 annoncés l'année dernière), visiblement le navire Vestas coule, alors qu'il était l'une des plus belles valeurs de la bourse de Copenhague jusqu'à mai
dernier.
Comment peut-on dire que ce secteur crée de l'emploi en France , alors que l'étude récente écossaise de Verso Economics montre que chaque emploi créé dans ce secteur en détruit 3.7 dans l'industrie
?
Pour rappel le Directeur Général de Vestas France est le Président du syndicat des promoteurs " France Energie Eolienne" et il a eu l'aplomb de promettre des dizaines de milliers
d'emplois .
(ndlr. rappelons que le promoteur éolien en charge du projet de la CCFN est britannique.)
19 0ctobre 2012 - Cuncy les Varzy un NON massif au projet de la CCFN
Appelé à voter au sujet du projet éolien de Tannay, le Conseil Municipal de Cuncy les Varzy a voté non au projet par 8 voix contre et 1 abstention. Les conseillers ont tous été scandalisés de constater que la ZDE encerclait le village de Cervenon ! Des conseillers bien informés sur l'éolien industriel ont à nouveau argumenté contre cette gabegie financière et patrimoniale.
Février 2012 - Jean Marc Jancovici au Sénat
Jean Marc Jancovici Polytechnicien et Ingénieur Conseil est spécialiste en énergie. Dans une conférence faite aux membres de la Commission Energie du Sénat en février 2012, il présente aux sénateurs son point de vue sur les énergies de substitution et la politique énergétique à développer en France.
Ce spécialiste des énergies démontre à la commission du Sénat les aberrations de l'énergie éolienne sur notre territoire
29 Septembre 2012 - Christian Paul, Député de la Nièvre, rend visite aux habitants de Cervenon
A l'initiative du Comité de Défense anti éolien du village de Cervenon,animé par Madame Agnès Devoucoux, M. Christian Paul, Député de la Nièvre
est venu échanger en septembre dernier avec les habitants de ce charmant petit village du canton de Tannay.
Ceux-ci sont inquiets!
Si le projet de développement éolien se concrétisait, Cervenon serait cerné par 12 éoliennes de 150 mètres en bout de pales, prévues sur ce parc!
La vie de ce petit hameau tranquille deviendrait alors impossible et les biens immobiliers seraient invendables.
Monsieur Christian Paul a assuré aux habitants de Cervenon qu'il ferait tout ce qui est en son pouvoir afin que le cas de ce village soit pris en considération par les autorités décisionnaires.
Il a notamment promis de se rapprocher du Préfet de la Nièvre, afin de faire le point sur l'état d'avancement de la décision concernant la ZDE de la CCFN.
Par ailleurs, il a clairement insisté sur l'intérêt que pourrait présenter, à l'initiative du SIEEEN , (Syndicat intercommunal Energie Equipement Environnement de la Nièvre),la mise en oeuvre d'un cadre de réflexion globale sur le développement des énergies renouvelables à l'échelle du département.
Ceci permettrait de procéder à des choix plus rationnels, sous l'égide d'un acteur public, et dans une parfaite transparence de projets, réfléchis et discutés avec la population.
Il propose de demander un moratoire sur le projet CCFN, en attendant la mise en place de ce type d'organisation.